Le climatiseur n’est pas installé dans votre maison ou votre appartement : bonjour l’inconfort quand vient la canicule estivale ! La solution, si vous avez un budget plus ou moins restreint, c’est d’opter pour un climatiseur mobile. Vous le transporterez d’une pièce à l’autre sans trop d’encombrement, vous permettant ainsi d’être au frais en permanence. Mais surtout, en plus d’être un investissement responsable pour l’environnement, il ne coûte pas cher. Le climatiseur mobile, sachez-le, est tout sauf énergivore !

Qu’est-ce qui rend le climatiseur mobile plus économique ?

Son prix est abordable, c’est un fait. Mais au-delà de la question tarifaire, il faut considérer l’impact de l’utilisation de cet accessoire sur les charges fixes liées à votre facture d’électricité. La bonne nouvelle c’est que le climatiseur mobile ne consomme pas beaucoup d’énergie : vous pouvez donc vous rassurer, vos dépenses n’augmenteront pas considérablement. La plupart des climatiseurs mobiles sont de classe A, c’est-à-dire qu’ils permettent une réelle et importante économie d’énergie en plus de présenter une durée de vie correcte !

Comment rentabiliser davantage ce climatiseur « vert » ?

Tout comme les cuisinières à bois, le climatiseur mobile est économique et écologique. Si vous optez pour un climatiseur mobile, vous êtes sûr de moins consommer et donc d’économiser, tout en polluant moins sur une période assez longue. L’environnement et votre plan d’épargne (si vous en avez) vous diront merci ! Néanmoins, si vous souhaitez débourser encore moins pour votre facture d’électricité, privilégiez les climatiseurs mobiles de classe A+ et A++ sur ceux de classe A. La raison en est qu’ils sont les moins énergivores même s’ils coûtent un peu plus cher. En clair, leur efficacité énergétique est maximale ! Pour vérifier tout cela, il suffit de consulter étiquette-énergie accolée sur l’appareil, une démarche obligatoire depuis l’entrée en vigueur de la directive européenne 92/75/CEE. Le texte régissant les climatiseurs domestiques porte le numéro 2002/31/CE.